François Gerber : Calomnies et vérités tronquées…

"Mentir est le talent de ceux qui n'en ont pas" dirait Marie-Joseph Chénier. C'est ainsi que Monsieur François Gerber veut nous dévoiler « la vérité », ou plutôt ses vérités, au sujet du festival de musique Mosaïk aux Mureaux. Le budget du festival tourne autour de 300 000 euros par an, pour 3 jours de concerts. Un événement régional qui permet à notre ville de rayonner au-delà de son propre territoire, d’offrir aux muriotins de grands artistes à des prix attractifs et de surtout conquérir une nouvelle image à l’extérieur, pour « 78130 Les Mureaux » ne soit plus synonyme de voitures brûlées.

Comment se ventile le budget du festival ? Il y a trois pôles de financement : 1/3 la Ville des Mureaux, 1/3 les partenaires publics et privés, 1/3 la billetterie. Car oui, Monsieur François Gerber semble oublier que l’Union Européenne, le Conseil Régional, le Conseil Général (présidé par son mentor Mr Bédier) et un grand nombre d’entreprises accordent et renouvellent chaque année leur confiance aux organisateurs de ce festival. De plus si les comptes étaient opaques, pourquoi le Commissaire aux comptes émettrait-il un avis favorable à la gestion de l’association Mosaïk ?

Quant aux cocktails organisaient par la Mairie des Mureaux dans le cadre de Mosaïk, ceci s'explique par le fait que ce festival est une occasion évidente de valoriser notre ville. En tant que mécène, il est normal que la Mairie invite ses propres partenaires à ces soirées musicales. Dans le même principe, certains muriotins sont invités par la Banque Populaire à des cocktails. Pourquoi ? Parce que cette banque est partenaire du festival et profite de l’événement pour inviter ses clients. Voici donc les fameux V.I.P de Monsieur François Gerber ! D’ailleurs en parlant d’invitation, Monsieur Gerber sait en profiter…. Avec quelle invitation s’est-il rendu aux derniers vœux du Maire ? (Invité par Madame Brousse) Avec quelle invitation s’est-il rendu au dernier Festival du Cirque des Mureaux ? (Invité par Monsieur Campo)
En attendant, les muriotins payent leurs places.