mercredi 20 février 2008

Petite enfance, quelle perspective ?

Mr François Gerber propose « la création de 4 crèches avec haltes garderies de 40 berceaux ». Puis en feuilletant le programme, nous apprenons également que l‘UMP s‘engage au « recrutement des personnels nécessaires au fonctionnement des crèches et des centres de loisirs ». Une chance : nos enfants ne seront pas seuls dans les crèches ! Merci aux rédacteurs pour cette précision...
Même si la Maison de la Petite Enfance a ouvert ses portes, nous subissons en effet une pénurie de berceaux. La démographie muriautine s’est inversée avec ces dernières années et nous proposons d’investir dans un véritable maillage de la Petite enfance sur la ville. Dans le cadre de ce dispositif, nous ouvrirons 4 crèches (dans les quartiers de la Haye, la Médiathèque, la Vigne Blanche et le Stade). Nous augmenterons le nombre d’assistantes maternelles et nourrices agrées en proposant des aides à l’installation de micro-crèches de 6 à 8 bambins. L’ensemble du dispositif pourrait offrir jusqu’à 150 places d’accueil !

Un programme ne peut être qu’une succession de mesures opportunistes et clientélistes. Il se doit d'être une réflexion, une réponse sérieuse et mûrement réfléchie aux préoccupations des habitants.

2 commentaires:

Annabelle a dit…

Simple remarque au passage mais ne serait-ce pas votre cher candidat (aujourd'hui réélu) qui a également parlé lors d'une réunion d'installer 4 crèches et quelle coïncidence, exactement là où Mr Gerber (que vous critiquez si allègrement) proposait de les installer plusieurs jours auparavant? Alors d'où proviennent les idées??? certainement pas de votre camp !!!

Anonyme a dit…

58,59% des électeurs de dimanche doivent être idiots. Mais c'est biensur ! Depuis des années à Mantes, Gerber suit les projets immobiliers sur les mureaux. Il avait compris avant tout le monde que des programmes allaient se développer dans le quartier de la haye, de la médiathèque, du stade... et il avait même pensé à construire des crèches dans ces nouveaux batiments. Pour un parachuté il avait une sacré longueur d'avance sur les dossiers, dommage qu'elle ne s'est pas concrétisée en suffrage. Balot !